Extraits de presse (2012)

Article paru dans les DNA le 22/11/2012

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Article paru dans les DNA le 03/07/2012

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Article paru dans les DNA le 02/06/2012

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Article paru dans les DNA le 23/05/2012

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Avec ce nouveau titre « Petit précis de l’impolitesse ordinaire », Laurent Bayart rajoute un nouveau titre à la cinquantaine d’ouvrages qu’il a écrits sous forme de nouvelles, de poèmes et de récits variés. Son regard se promène inlassablement sur son décor quotidien et ses passions comme le vélo. Avec ce précis, il met en scène ce que chacun voit et n’ose pas dénoncer. Il comptabilise ces attitudes devenues banales qui offusquent, avec un concentré répertorié lors de ses voyages réguliers en tram. Une véritable scène de théâtre où les acteurs lui donnent constamment des tableaux pour étayer ses observations, mises en forme avec un florilège de mots drôles, d’expressions détournées et de titres ravageurs.

Du péteur impénitent au mâcheur inconditionnel de chewing-gum, de celui qui vous broie les phalanges à celui qui parle trop fort, de l’automobiliste qui se prend pour Loeb à « l’insuportable communication », à savoir le voyageur avec « son excroissance électronique en téléphonie aiguë » qui fait bénéficier son entourage de tous ses discours, Laurent Bayart rappelle en négatif ce qui nuit à la qualité de la cohabitation : « L’insolence et le m’en-foutisme règnent sans partage chez nos concitoyens. Les règles élémentaires du plus rudimentaire savoir-vivre ont été abandonnées depuis belle lurette ». Et de conclure avec profondeur : «L’impolitesse, c’est de ne plus écouter battre le coeur de l’autre».

Dominique WIRTZ HABERMEYER / L’AMI HEBDO

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Article paru dans les DNA le 11/05/2012

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Laurent BAYART possède un sens inné de l’anecdote qu’avec talent il métamorphose en un regard attentif et attentionné sur le monde et la vie…Il y a dans le « Grand Jeu » de Laurent BAYART quelque chose de la fable, comme pour souligner l’inadvertance humaine…Cette poésie est celle du cœur…L’auteur y combine plus savamment qu’il n’y pourrait paraître au premier abord innocence et verve, pertinence et tendresse, mélancolie et gourmandise, ironie et rêverie…Le verbe joue de la musique avec l’instant et le poète s’y abandonne avec bonheur. Une poésie touchante et lumineuse.

Nathalie LESCOP-BOESWILWALD, Les Amis de Thalie, avril 2012, A propos du « Grand Jeu »

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Article paru dans les DNA le 29/03/2012

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Baguenauder dans l’ivresse de l’instant et sa bohème, tel est le programme de Laurent Bayart, poète, nouvelliste et romancier, avec son dernier opus, « Ivresse du vagabondage » (La Maison de papier éd.). Il faudrait selon lui ralentir, sortir du grand vacarme et « se pousser à vivre en y mettant des majuscules ». Ainsi, avec ses poèmes en prose (illustrés par des aquarelles de Christiane Meiss), s’emploie-t-il à se « donner la vie sous la forme d’un conte ». Onirique ? Sans doute. Mais aussi en quête du réel, les pieds nus pour « sentir les vibrations et la chaleur de ce soleil à l’envers qui bouillonne – torrent de lave – au centre de notre planète ». De sentes en métamorphoses, le poète suit l’empreinte qu’il laisse vers une sorte d’harmonie : « promeneur, je touche du doigt l’éternité ».

Michel Baglin, revue « Texture ».

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Très agréable à lire, c’est du Bayart à l’état pur, absolument sans règle, et qui ne se prend pas plus au sérieux que dans ses excursions à vélo…/..

 Paul Van Melle, revue « Inédit » Belgique, à propos de « Le Grand Jeu », Encres Vives.

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Ecrivain/Poète

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