Mais sur son vélo, Laurent batifole autant avec ses neurones qu’il ne le fait avec ses pédales et tous ses sens. D’où une foultitude de beaux tableaux, de jolies phrases et un brin –pardon, un bouquet – de poésie. Au final, la balade (en)cyclopédique dans ce coin de notre région est aussi enlevée que colorée. Aussi étonnante que rafraîchissante. Le chevalier Bayart donne dans le grand art.
Pierre Hugonin, journal « L’Alsace »
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Si vous aimez les lectures originales, assurément « Voyage en chambre à air » de Laurent Bayart vous séduira. Recueil de billets d’humeur, parfois drôles, souvent décalés (c’est même parfois le vélo qui parle), cet ouvrage se picore plus qu’il ne se lit.
Revue « Top Vélo ».
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Humour, sens du détail, impressions vécues, tout est fait pour que le lecteur visite avec lui cette belle région, au fil des pages de cette balade (en)cyclopédique.
Revue « Le Cycle ».
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Laurent Bayart est un alsacien fou de vélo, un vrai ! A croire qu’il se balade avec des cale-pieds en permanence vissés au bout des chaussures et une combi moulante bleu vosgien évidemment sur le dos. Sans l’impression d’avoir monté un grand col, on arrive à la fin du livre, en connaissant un peu mieux cet univers étrange et l’envie d’enfourcher un vélo pour vivre aussi, porté par deux boudins d’air.
François Micucci/City Strass.
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Richesse des rencontres, des mos, des paysages : « Voyage en chambre à air » est un livre jubilatoire et ludique, comme le définit son auteur, un amoureux de la vie. Laurent file, un peu moins vite qu’à dix-huit ans, mais toujours avec la même passion. Et ça tombe bien : il a le vent dans le dos.
DNA/ Fanny Holveck.
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Sa route est un sanctuaire ouvrant le paysage afin qu’il puisse entrer dans l’aquarelle du tableau. Ce tapis noir vagabonde, tantôt dans les plaines, les forêts, les montagnes, tantôt au gré des collines en traversant villes et villages. Tel un cierge éclairant le chemin, son vélo est son chemin de Compostelle et pérégrin sur les pentes du Mont Sainte-Odile, la route devient prière et incantation quand il y pédale.
René Codani/Cyclotourisme.
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A la manière d’un Delerm, le père, l’écrivain, Laurent Bayart prend le temps de s’arrêter, de s’appesantir, de décortiquer les moindres sensations, les plus petits instantanés qui meublent les balades à bicyclette.
Serge Bastide/ DNA.
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En le lisant, nous pensons bien sûr à Antoine Blondin et à ses chroniques pleines de verve, de bons mots, de poésie… « Voyage en chambre à air » est le recueil d’un cycliste doublé d’un poète ou vice-versa…Faire la part entre les deux s’avère finalement difficile tant Laurent Bayart mêle adroitement ses deux passions…Parcours pour le moins original et qui mérite tout notre intérêt, car Laurent évoque avec avec ce talent reconnaissable entre tous, l’univers cycliste…
Nathalie Lescop-Boeswillwald / Les amis de Thalie.
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Qu’y a-t-il de commun entre écrire et pédaler ? La littérature est une route, tantôt en pente et lacets, tantôt en mornes plaines, tantôt plate comme un Paris-Roubaix. Le nez dans le guidon ou la tête dans le stylo. Encre et cambouis sont jumeaux de souffrance. L’asphalte est un peu la page blanche où le cycliste inscrit son effort.
Claude Luezior/ Florilège.
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Il demeure, chez notre poète, une mystique de la pratique vélocipédique. Elle lui permet de toucher à l’absolu, de goûter l’ivresse du grand air, d’être « en osmose avec le mouvement du monde ». Sur son vélo, il se grise de la liberté de mouvement comme pouvait le faire Miguel Indurain, il se délecte des « vagabondages de l’esprit » et des « moments d’éternité volés à l’humeur du temps ». Il est comme Ulysse, prenant part à une épopée. « Rouler, c’est vieillir moins vite », nous dit-il dans une allusion implicite à la théorie de la relativité d’Einstein. Rouler en écrivant pour accéder à l’éternité.
Olivier Larizza/ écrivain.
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Laurent Bayart, nous dévoile ainsi la majesté des paysages, la saveur du vin, la beauté des femmes, la furie d’un fleuve, les monastères, les rencontres, mais en filigrane nous percevons également le dénuement et la fraternité, le partage et la spiritualité, et surtout la tendresse d’un poète pour la terre roumaine, tendresse qu’il nous offre superbement via ce touchant « Cantique roumain ».
Paul Van Melle / Inédit (Belgique).
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Quarante « petits poèmes », en vers libres, cela fait un joli carnet de voyage en mots…Situations, trognes, paysages saisis sur le vif, croqués vivement, avec verve, c’est-à-dire fantaisie créatrice. Pas de dessins ni de photos, mais des jeux de mots, des images inventives, des clins d’œil langagiers qui suffisent largement à pourvoir à leur absence.
Jean-Pierre Exertier/ Florilège.
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Retrouvons dans ce recueil le meilleur de Laurent Bayart qui est passé maître dans l’observation du quotidien, mais également dans la description intuitive de l’homme en son cosmos.
A propos de « La compagnie des étoiles », Claude Luezior/ Revue Alsacienne de Littérature.
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Qui connaît Laurent Bayart, sa truculence naturelle, sa vivacité d’esprit, sa fertilité imaginative, sa façon espiègle de traiter le sérieux par le dérisoire pour aboutir à une vérité au-delà des apparences, son aptitude à s’embraser contre la violence ou les hypocrisies de notre monde, ne sera pas étonné de le retrouver dans ces nouvelles d’amour, d’extase et de passion.
A propos de « L’ô sauvage »/ Revue Alsacienne de Littérature.