Pour rester solaire et optimiste et ne pas dire heureux, rien de mieux que « Ivresse du vagabondage » où un auteur qui constamment navigue entre humour et diversité, n’hésite pas à s’inspirer du sport ou plus simplement de la promenade ou du voyage. Laurent Bayart, que nous suivons lui aussi à la trace depuis longtemps, se livre encore plus que d’habitude à une délicieuse rêverie et au plaisir du randonneur.
Paul Van MELLE, revue Inédit, Belgique, décembre 2011.
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…Ce regard n’est pas seulement rousseauiste mais se vérifie des auteurs grecs jusqu’à nos jours. Le vrai est dans le minuscule, l’impalpable, l’escargot qui humecte son sillon, le terrain vague des pollens, la respiration de l’instant, mais aussi dans cet espace indéfini où nous pourrions nourrir la vérité de Dieu/ Car elle se cache dans le retrait de ligne, un saut de page ou un point final. Bayart, mine de rien, creuse l’essentiel de nos existences. C’est dans cette ivresse même, dans ce vagabondage apparemment anodin mais si profond, dans cette ouverture aux choses et aux êtres, que nous conduit avec sagesse l’écrivain alsacien.
Claude Luezior, Florilège, décembre 2011.
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Après diverses incursions littéraires dans le domaine félin et de la Petite Reine , Laurent Bayart revient à ses primes amours…La poésie, sous forme de prose…et reconnaissons-le, c’est un réel plaisir de parcourir son monde poétique au fil des pages et des thématiques choisies. « Ivresse du vagabondage » pour une pensée intimiste partageuse et profondément humaine…Ces retrouvailles en terre-poésie sont autant de parcelles de bonheur que nous offre l’auteur au fil de sa plume sensible et chatoyante comme les feuilles d’automne…
Laurent nous parle de « rendez-vous, d’absences, d’histoire, de lecture, de soleil, de voix, de temps qui file, de routes et de vagabonds, de lenteur, enfin…de bonheur d’exister » avec cette verve poétique qui n’appartient qu’à lui, nous plongeant dans une introspection diseuse de conscience, de vérité intérieure, de cohérence humaine et d’imaginaire propice à des flâneries incertaines dans l’ornière des jours…A souligne la qualité et la délicatesse des aquarelles de l’artiste Christiane Meiss…C ‘est tout simplement superbe !
Nathalie LESCOP-BOESWILLWALD, Les Amis de Thalie, numéro 70, décembre 2011.
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Après un grand tour parcouru en « petite reine », Laurent BAYART retrouve ses premiers amours, la prose poétique, et nous convie, « dans l’intimité de ses terres intérieures embrasées du feu de son regard, à un voyage ». Voyage initiatique, cheminement ininterrompu, émerveillement entre visible et invisible, nouvel équilibre entre rêve et réalité : Les méridiens sont devenus des compas avec lesquels nous traçons nos pas./..J’invite nos lecteurs à découvrir L’ivresse du vagabondage, à entrer dans la maison du poète dont la porte reste toujours ouverte. Ecoutons la leçon d’un nouvel humanisme où la sagesse se fait présence dans la plénitude de l’instant : Redevenir un homme sans école ni parabole, mais avec l’instinct de tout ce qui nous a précédés. Et puis, partir dans la bohême de l’instant, tel un saltimbanque de l’inutile. Offrir au vagabondage notre bonheur d’exister.
Maryse STAIBER, Revue Alsacienne de Littérature (115/116) décembre 2011.
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Article de la page région des DNA, Samedi 19 Novembre 2011
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L’auteur nous amuse cette fois avec une foule de détails et d’anecdotes croustillantes sur le cyclisme et ses acteurs. Grimpeur d’étoile, il met en scène une balade qui ne s’arrête plus sur la carte Michelin. Au cœur de ce chant d’amour pour le vélo, les lignes consacrées à Louis Nucéra scintillent comme des pierres précieuses sur une trame d’or.
A propos de « Un Tour…deux roues ».
René CODANI , numéro 598 de la revue de la Fédération de Cyclotourisme Française.
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