Laurent Bayart publie un nouvel article de sa chronique « Entre nous soit dit » dans le numéro d’été de la revue bourguignonne « Florilège ».
Il nous rappelle « qu’il est temps de poser des pépites de soleil sur la grande agitation du monde ». Et le poète de rajouter, en ces temps bien obscurs « qu’il ne dépend que de nous pour changer le monde.
Il suffit d’un sourire. Oui, du camouflet de l’espérance et de sa jubilation pour conjurer le mauvais sort ! Soyons raisonnablement fous ! Les diablotins se remettront dans leurs boites à chaussures et retourneront dans leurs greniers et caves ! Oubliettes glauques de l’histoire…
Il suffit de réinventer le soleil. »
- Revue Florilège, 19 allée du Mâconnais, 21000 Dijon
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