Tous les articles par Laurent Bayart

LES QUATRE MOUSQUETAIRES COMME DES MOUSTIQUES LOUSTICS QUI NOUS ENCHANTENT !

                                                     A Jules, Camille, Alphonse et Gustave,

         Loustics moustiques en mode mousquetaires (qui étaient quatre !), vous êtes nos petits lutins qui lutinent/ butinent en espièglerie et connivences dans nos vies ! Merveilleuse fratrie de compères qui se connaissent comme des frères. La vie est si magique quand on s’aime, c’est pourtant facile, non ?

Adultes, prenez exemple sur eux. Ce sont nos pères Noël à nous autres ! Faites (fêtes)-nous rêver plus haut et plus fort, dans l’intensité de l’essentiel.

Car vivre, c’est ouvrir nos cœurs aux messages essentiels du soleil.

Nos cœurs et nos âmes se contenteront de suivre le chemin que vous nous avez tracé.

La route est si belle lorsque vous êtes là !

                                                                © Laurent BAYART 

                                              20 décembre 2025

LAURENT BAYART TRADUIT EN ROUMAIN.

Belle traduction roumaine avec des extraits de son dernier opus littéraire « Le soleil danse sur mon jardin », effectuée par l’orfèvre en traduction et l’auteure émérite qu’est CARMEN ANDREI, dans la revue roumaine du Bas Danube.

Bonheur de semer quelques confettis de littérature, par le biais de mon jardin potager…

Mes tomates en rougissent de joie !

UN PANIER QUI NOUS REGARDE DE SON ŒIL DE PIERRE…

                                            Sur une photo de Donatien Breiner,

         Il ne faut pas mettre tous les yeux dans le même panier ! dit-on…mais parfois, ces jolis sacs en osier chantent la romance des rencontres impromptues. Poésie des cailloux enluminés, décorés comme des boules de Noël. Littérature qui s’enroule sur le corps en pierre de ces mondes figés, fossilisés par la vie qui s’arrête dans les humanités minérales. Des pupilles pétrifiées nous observent du coin…de l’œil. Drôles de caméras de surveillance ! 

Les rues offrent la romance de leurs trottoirs qui ne sont rien d’autres que des pierres « domestiquées ».

Nos pas sont un peu leurs regards qui se glissent dans les mondes d’en-bas.

Clef de sol qui distille la musique de nos semelles.

                                                               © Laurent BAYART

                                           18 décembre 2025

LE SOLEIL DANS LE CŒUR DE PATRICIA CHABAS OU LES SOUVENIRS ENCHANTES D’UNE JEUNE FEMME.

         Sublime couverture qui respire les couleurs du soleil, celui qui enchante encore le cœur de Patricia Chabas. Ses souvenirs de jeunesse passée à Madagascar constituent des pépites de soleil dans le cœur de l’auteure qui garde en son âme ces moments de bonheur figés dans l’album photo sépia du temps.

Entre 1968 et 1970, la jeune fille découvre une île singulière, sous le talisman du soleil de l’océan Indien. Travail d’écriture comme une exploration du passé : J’ai voulu remonter le temps, explorer mes « journaux intimes » de l’époque et naviguer dans ce passé lointain en retrouvant des albums, des lettres, des photos…Comme un voyage inédit en terres inconnues : Madagascar. Il paraît qu’il ressemble à l’Afrique, avec un air d’Asie. Tana ou Tananarive, la capitale, qui a pris le titre de cet ouvrage de voyages en terre de souvenirs dans laquelle l’auteure nous emmène. Sur la route, nous doublons des charrettes tirées par des zébus. De petits bus, cabossés, submergés de voyageurs, filent à toute allure, dans des éclats de couleurs vives…Belles descriptions d’un paysage atypique et exotique qui illumine encore les yeux de l’écrivain : Parfois une pente se découpe en différents niveaux de rizières ; la terre est rouge et cela fait autant de saignées géométriques qui accrochent notre regard. Et, nous découvrons avec elle, ses singulières traditions locales, notamment celle du famadihana qui consiste à retourner des morts, rite funéraire typiquement malgache…/…Il s’agit de sortir du tombeau un aïeul décédé depuis longtemps, de l’embaumer à nouveau, de l’enrouler dans un lamba neuf et de promener sa dépouille, en procession, par les rues du village…L’ouvrage est parsemé de photos noir et blanc ou en couleur qui offrent l’atmosphère et l’émotion du temps jadis. Poésie de l’exotisme qui enchante le cœur et l’âme : Les tomates, poivrons, piments, oignons, carottes à profusion donnent des couleurs à la marée verte des chouchou, christophines, concombres, courgettes, haricots, choux et autres…Belle description du Zoma, le mot signifiant « vendredi », le grand marché au centre de Tananarive.

Période enchantée de la jeune fille qui se remémore aussi, la magie de l’intuition de son père : alors que nous devions aller, maman et moi, passer quelques jours à l’île Maurice, papa nous demande d’annuler notre voyage ! Il a un mauvais pressentiment et lui qui pilote des avions depuis des lustres est hanté depuis plusieurs jours par un cauchemar : il voit notre avion s’enfoncer dans l’océan…

Cet ouvrage est un bel album de souvenirs, tendres et passionnés qui pétillent d’amour, d’un temps passé qui enchante encore Patricia, en nous faisant voyager avec émotion et bonheur. 

Les années passent et filent mais ses souvenirs se sont métamorphosés en livre, comme un cadeau et un petit clin d’œil espiègle, plein d’amour adressé à ses parents. Les voilà restés avec elle, pour toujours, à Tana.

Les souvenirs les plus beaux demeurent à jamais dans notre éternité.

                                                                     © Laurent BAYART    

Au soleil de Tana, Souvenirs de jeunesse à Madagascar, 1968-1970 de Patricia Chabas.

Prix de l’ouvrage : 20 Euros, chez : Patricia Chabas, 7 impasse d’Ottrott 67460 SOUFFELWEYERSHEIM.

OU VONT NOS VIES LORSQUE TOUT S’ARRETE ?

                                   A Christian Christ, mon cousin, pour cette photo…

       Vous étiez deux, comme une belle et harmonieuse conjugaison d’amour. Le temps file et nous emmène dans les tourbillons de son ivresse. Nous sommes des gommettes emportées dans une spirale qui n’a pas de fin. Car la vie ignore le terminus ! N’est-ce pas ?

Maman et papa vous étiez immensément beaux sur cette photo sépia ! Nostalgie des existences passées dont les ombres planent encore sur nous. J’ai mal à ce temps qui se déroule trop vite et nous emporte dans son maelström. J’aurais tant voulu vous connaître à cette époque ! Inventer une machine à remonter le temps, comme le souhaite tant Alphonse, mon petit-fils ! Dépêche-toi, le temps file si vite et nos vies s’en vont à la vitesse de la lumière.

Je voudrais encore savourer ces instants avant la grande échappée.

Car je sais, de toute mon âme, que vous n’habitez pas le cimetière mais vous êtes présents à nos côtés, comme des ombres qui portent la lumière pour toujours.

On appelle ça la vie.

                                                     © Laurent BAYART

                                            11 décembre 2025

DES YEUX QUI PETILLENT EN SAVOURANT LE DELICE DES PAYSAGES…

                                                                                       A Gustave,

         J’aime poser mes yeux sur les vitres d’un train où les paysages défilent comme par magie et enchantement, en m’inventant mille voyages qui mettent des pépites de soleil dans mes yeux éblouis. De gare en gare, je m’émerveille de la beauté de ce monde qu’il me faut -tous les jours – un peu plus découvrir et apprivoiser. Voyager, c’est mettre de la poésie sur les feuillets des jours qui passent, comme un train dans nos existences.

-Dépêche-toi Gustave, profites-en de tout ton saoul de cette merveilleuse vie, car elle passe si vite…A l’allure d’un train fou ou d’un tgv qui fuse sur les voies…

Émerveille-toi de chaque jour qu’on t’offre, telle une offrande de soleil.

Car les trains vont et passent vite, à l’image de la vie…et un jour, nous arriverons à destination, dans une gare qui n’est -finalement – pas un terminus mais le début d’un autre voyage !

                                                                   © Laurent BAYART

                                               8 décembre 2025

LAURENT BAYART A LA BIB DE MUNDOLSHEIM, LE SAMEDI 13 DECEMBRE A 11H.

Clap, ou hohoho de fin pour notre tournée de Noël 2025. Je serai avec mon compère accordéoniste et habitué des lieux, Fabien Christophel, à la bibliothèque de Mundolsheim pour une animation littéraire et musicale intitulée « Le Magicien en manteau rouge ». Evocation, imaginaire et féérie autour de Noël.

Une dernière en forme de fête et de rencontre avec le Magicien en manteau rouge qui continue à illuminer nos vies…d’enfants et d’adultes ! Espérer et croire, c’est poser des étoiles dans nos yeux.

  • samedi 13 décembre 2025 à 11h, bibliothèque de Mundolsheim (Entrée gratuite, plateau).

LE TEMPS DE L’INDIGENCE ARTIFICIELLE.

         Les temps se sont pris les pieds dans le tapis de l’Intelligence Artificielle…les hommes étant désormais « coachés » ou scotchés par les sbires et pixels des mondes invisibles de l’électronique, tirant les ficelles des rois de la création, réduits au rôle de pantins…

Indigence artificielle…Mais, écrivain et littérateur, auteur de ce texte, je n’ai pas eu recours à elle ! Foi d’écrivain. Croix de bois, croix de fer, si je mens j’irai en…

Je persiste et signe. Mon cerveau a rendu cette auguste copie ! Mon (humble) intelligence était loin d’être artificielle ! Foi de méninges essorées par ce texte généré par mon esprit !

Heureux qui comme Ulysse est resté un créateur de voyages et d’odyssées littéraires !

© Laurent BAYART

J’AI MAL A MON NOEL…

Sur une photo de l’ami Alain Tigoulet,

       Le temps glisse et file, mais les souvenirs demeurent. Je me souviens des Noël d’antan qui faisaient rêver l’enfant que j’étais et qui reste encore collé en moi.

En ce temps-là, il y avait encore des Pères Noël déambulant dans les allées du marché éponyme pour poser des pépites d’étoiles dans les yeux des mômes. Que sont-ils donc devenus ? Évaporés, dissipés par les mages noirs de l’Intelligence (l’Indigence) Artificielle ? La magie s’est envolée.

Moi, j’ai mal à mon enfance et porte encore l’envie de rêver et de lever la tête vers le ciel, pour y apercevoir le majestueux traineau du grand Magicien poussé par les rennes.

J’ai mal à mon enfance. Ces agioteurs de féeries s’imaginent que les étoiles ne se trouvent plus dans le ciel…

Père Noël, reviens vite, ils sont devenus fous ! 

Moi, je veux encore y croire…Il reste une étoile qui bat dans mon cœur et enchante mon âme.

                                                    © Laurent BAYART

                                            30 novembre 2025

LAURENT BAYART EN TOURNEE DE NOEL A LA BIBLIOTHEQUE DE SOULTZ-LES-BAINS.

Laurent BAYART continue sa tournée de Noël pour présenter son livre « Le Magicien en manteau rouge ». Il sera, le vendredi 5 décembre prochain à 20h30, à la bibliothèque municipale de Soultz-les-Bains et proposera une animation littéraire et musicale avec son ami accordéoniste Fabien Christophel. Magie et ambiance de Noël afin de préparer (en musique et en littérature !) la venue du grand Magicien…

L’animation sera suivie d’une rencontre et d’une séance de dédicaces.

  • vendredi 5 décembre 2025 à 20h30, bibliothèque municipale de Soultz-les-Bains, 8 rue des Soeurs, 67120 Soultz-les-Bains. Entrée gratuite (plateau).