A Jules,
Qu’ils sont beaux, ces oiseaux en toile, Jules, qui s’en vont/s’envolent sur la colline (inspirée) de Mundolsheim, dans la toile bleue du ciel qui fait rêver les petits garçons. En quête de liberté et de grands espaces. Planer, qu’elle ivresse à portée de rêve ! Les cartables sont parfois si lourds à porter, l’arithmétique de la vie, bien compliquée et l’alchimie de nos peurs peut nous empêcher, parfois, de prendre de la hauteur. Nos ailes de géant nous empêchent de marcher disait le poète. Un instant de grâce pour mieux sourire au printemps qui s’annonce déjà un peu aujourd’hui. Jules, navigateur du futur, tu prendras – toi aussi – un jour ton envol et apprivoiseras le ciel pour en faire un ami.
Voler de ses propres ailes. Nous avons tous des rêves d’oiseaux au fin fond de nos cœurs.
Car, les petits princes de trois pommes sont les enfants du soleil.
© Laurent BAYART, dit Papilo
31 janvier 2022
Le rêve de Jules, et de tous les enfants du Monde, encore magnifié par ta poésie si « aérienne ». Merciii Laurent !
MERCI les amis !