Tous les articles par Laurent Bayart

LAURENT BAYART A LA 9EME EDITION DE LA FETE DU LIVRE DES AUTEURS DE MITTELHAUSBERGEN

Nouveau rendez-vous habituel en cette période de l’année pour l’écrivain-cycliste : la 9ème fête du livre des auteurs de Mittelhausbergen. Laurent Bayart sera présent le dimanche 25 mars prochain à partir de 10h jusqu’à 18h. Il viendra à nouveau en voisin et sera heureux de venir à la rencontre de ses lecteurs.

  • Mittelhausbergen (Bas-Rhin), espace sportif et culturel, rue des jardins, le dimanche 25 mars 2018.

LAURENT BAYART DANS LE NOUVEAU NUMERO DE LA REVUE FLORILEGE

Laurent Bayart est à nouveau présent dans la nouvelle livraison de la revue bourguignonne « Florilège », dirigée par l’écrivain Stephen Blanchard (Une des plus anciennes revues de France, cent soixante dix numéros parus !). Il signe un nouveau billet de sa chronique « Entre nous soit dit » avec un papier qu’il intitule  » Un rendez-vous comme un rituel » dans lequel il exprime son bonheur d’écrire depuis maintenant, quarante deux ans !  L’écriture a balisé mes sentes. Avec elle, je ne sens plus la brûlure des orties, ni l’amertume des ronces. Chemin faisant, des phrases ou des vers ont ensoleillé ma destinée.

  • Revue Florilège, mars 2018 (n°170), 19, Allée du Mâconnais, 21000 Dijon. aeropageblanchard@gmail.com

BILLET DE (MAUVAISE) HUMEUR / ACTE 55   / LE TANGO MORNE DES NIOUZES DE L’ACTUALITE.

Bon, ok, les feuillets de l’actualité n’ont jamais été parfumés à la lavande ni aux pétales de rose, mais depuis quelque temps ça sent toujours plus le rance, le vomi et l’étron. Les lecteurs/téléspectateurs, voire auditeurs, sont soumis à des pilonnements incessants de niouzes (terme anglaise qui signifie nouvelles) à faire pleurer de tristesse le plus récalcitrant des oignons. Le énième épisode du testament de Johnny avec ses règlements de compte (C’est le cas cas de la dire !), les frasques (désormais en béquilles) du millionnaire en crampons qu’est Neymar, les cartons du Paris Saint Pognon face aux équipes de la ligue canapé (Conforama pour la une et Domino’s pour la deux). Et pourtant les princes du foot font la nouba la veille dans les boîtes de nuit ! (Ah, il faudrait un Guy Roux pour chercher les joueurs à la sortie et leur « en coller une » et envoyer un pénalty dans la lucarne des fesses…), les indécents et incessants épisodes judiciaires des chourineurs d’enfants, les embrouilles nauséabondes des hommes politiques et j’en passe et des meilleures. Non des pires ! Bref, n’en jetez plus, l’homme contemporain est rempli à ras bord comme une benne à ordure ! A force de nous abreuver d’informations glauques et absurdes, on va avoir les burnes out comme dirait ma sœur…

Certains scientifiques avaient d’ailleurs déjà tiré la sonnette d’alarme et prévenu (encore un terme judiciaire) : le quotient intellectuel de l’homme moderne est en chute libre. Quant à son spermatozoïde, il se tortille comme un zombi en déconfiture. L’homme de Cro-Magnon était un intellectuel et l’homo erectus un philosophe érudit, comparé à ce que nous sommes devenus. Les journaliers du verbe nourrissant le contemporain au gel fortifiant de l’immense bêtise et connerie.

On rêverait presque d’infos enchantées. Mais ça intéresserait qui ? A part, les fous qui sont restés des éternels optimistes. Et, la presse/stress finirait en faillite, dans l’impossibilité de vendre ses feuilles de choux/papiers toilette. Ce qui –par les temps qui courent- serait dans le fond une bien bonne nouvelle…On y verrait un peu plus de lueur bleutée dans le ciel. Et puis, les météorologues nous annonceraient enfin le printemps ! Ca c’est de l’info.

                                                                                                                  @ Laurent Bayart

LIVRE/ LEVEAUX FAIT BŒUF AVEC « SEXE, DROGUE ET NATATION »

Ah, le titre est on ne peut plus « accrocheur », voulu par l’éditeur (communication oblige !), Amaury Leveaux ayant préféré celui (un peu niais) de « Plouf »…En tout cas, ce « Sexe, drogue et natation » a fait des vagues « tsunamidales » entre les lignes et les odeurs de chlore des bassins ! Ce n’est pas celui de Gainsbourg avec son célèbre « Sea, sex and sun » ! Même si ça y ressemble… phonétiquement parlant. Ce récit/témoignage d’un champion de natation au palmarès impressionnant : 4 médailles olympiques, 4 médailles au championnat du monde et plus de 40 aux différentes compétitions européennes, a donné la chair de poule aux édiles et autres athlètes des plans d’eau ! Et pour cause…

Le champion de natation, natif de Delle, près de Belfort, se livre sans tabou sur une jeunesse laborieuse avec une maman qui s’est retrouvée, seule, abandonnée par son mari et qui doit faire face à de grosses difficultés financières. Il est très vite repéré par un entraineur qui a du flair : Vincent Léchine. Et là, tout s’enchaîne en crawl et papillon. Le nageur-compétiteur est en mode combat : Moi, quand je ne gagnais pas, je faisais la gueule. Il est gentil, Pierre de Coubertin, mais je n’ai jamais pensé que l’essentiel était de participer. L’essentiel est de gagner. Celui qui avoue ne plus arriver à se débarrasser de l’odeur du chlore calcule qu’il a dû –durant sa carrière de compétiteur – « parcourir » près de 70.000 kilomètres dans les piscines !

Il parlera sans ambages du dopage (injections de testostérone pour certains !), de ses virées nocturnes hyper arrosées et de ses entrainements délicats le lendemain…de la drogue, des abus en tout genre et de ses noubas entre nymphettes et alcools en passant par la cocaïne, lui qui avoue qu’il grillait un paquet de cigarettes par jour…. !!!

Bref, on tombe sur les fesses en lisant cet ouvrage qui dépareille avec les images gnangnan des champions. Ce n’est – certes pas – de la littérature mais c’est intéressant, l’inverse n’étant pas toujours vrai !

                                                                                                               @Laurent BAYART

* Sexe, drogue et natation, un nageur brise l’ormeta de Amaury Leveaux, Fayard, 2015.

 

FOCUS/ A CAMILLE, PETITE FEE QUI VIENT D’ARRIVER…

 

Camille,

Te voilà enfin arrivée

Ballerine de l’espace

Petite fée si frêle

Au visage fluet

Que nous couvrons

De nos tendres baisers

 

Camille,

Des mois à t ‘attendre

T’imaginer

Te deviner par la lucarne magique

Des échographies

 

Soudain

Tu surgis

Comme un enchantement

Nouvelle étoile

Au firmament de notre ciel

Et de notre famille

 

Plus belle et gracieuse que rêvée !

 

Camille,

Je dépose quelques mots

Au-dessus de ton berceau

Comme on prendrait

Un bouquet de photos fugaces

Camille,

Peut-être que demain

Tu suivras le chemin

De ceux qui t’ont précédée

Danseuse, génie du bricolage,

Tricoteuse du multimédia,

Ingénieuse, animatrice,

Musicienne, guitariste,

Passionnée de cinéma,

Poétesse ou écrivain(e)

Et que sais-je encore !

 

L’avenir t’appartient

Et tu l’imagineras à ta façon

 

Camille,

Jour après jour

Tu t’affines

Et apprivoises la lumière du soleil

Ainsi que tous ces visages qui

Sont comme des anges gardiens

Bougies qui brillent autour de toi

 

Jules, ton grand-frère, te couve avec affectionEt Alphonse, ton cousin, qui t’a précédée de quelques semaines, t’observe avec les billes émerveillées de ses yeux

 

Camille,

Voilà que notre monde s’enrichit

D’une nouvelle lumière

Qui nous habite déjà

De Mundolsheim à Vesoul

Les distances ne sont plus

Que d’anecdotiques raccourcis

Les mondes se rejoignent

Aux confins des couffins…

 

Tu es notre passerelle/tourterelle

Notre petit pont vers l’avenir

Notre envie de poursuivre le chemin

A tes côtés

De ne jamais s’arrêter

Te voir grandir/mûrir, sourire…

 

Avoir un enfant, c’est mettre

Des fleurs de magnolias sur nos prochains calendriers.

 

Camille,

La vie est un généreux rendez-vous

Pour lequel nous sommes heureux d’être à l’heure

En ta compagnie

Merci de nous y avoir conviés !

Un jour de février…

 

Camille,

Sûr que les deux ailes de ton prénom

T’aideront à prendre ton envol…

 

Camille…

Merci, jolie petite fée,

De nous rendre la vie toujours plus belle

Avec deux L !

 

@ Laurent BAYART

20 février 2018

10h34

 

 

BILLET D’HUMEUR / ACTE 54 / GLA GLA CIALE OU LA METEO COMPLETEMENT GIVREE !

On l’avait presque oublié sur le calendrier : l’hiver – qui ne fait désormais plus peur à personne – se met à faire grincer les dents, pincer les oreilles et frigorifier les orteils. On pensait (à tort) que la quatrième saison n’était presque qu’une aimable prolongation de l’automne ou la cinquième colonne du printemps… Les saisons ne sont plus ce qu’elles étaient mon bon monsieur ! Mais où sont donc passées les neiges d’antan ? Moufle de saperlipopette, voilà que le train « Moscou-Paris » (drôle d’image ferroviaire !) déferle sur les quais en provenance de Sibérie, nous dit-on… Les météorologues ont prédis une attaque massive. Une sorte d’Anschluss polaire ! Les ours éponymes vont venir nous envahir avec une artillerie de pingouins et de manchots ! La guerre (froide) est déclarée. A vos casemates emmitouflées. Ligne Maginot bien chaude…Alerte orange ou rouge, ou plutôt gla gla ciale. La température a du tempérament. Oups, on se voyait déjà à travailler torse nu au jardin, à bêcher la terre avec une bouteille bien fraîche à ses côtés. Glacée oui. Le frigo est dehors ! Et les bourgeons, éclater en valse de couleurs sur les branches des arbres. L’exubérante nature offre une symphonie de verdure et une palette de couleurs. C’est loupé/râpé. Les magnolias peuvent piétiner d’impatience sur leurs bancs de touche en compagnie des forsythias !

 

Le « Moscou-Paris » passe à toute berzingue et nous atomise de ses froidures en mode engelures…Nous qui rêvions plutôt d’un « Paris-Brest » sur la terrasse d’un café…Le thermomètre va se mettre à parler russe. Diantre, s’il y a bien une boisson pour ne pas se geler, c’est bien la vodka livrée…par un Orient Express dont les rails sont fixés sur la ouate des nuages…Histoire de jeter un froid sur un éphéméride pétrifié.

                                                                                                            @ Laurent BAYART

24 février 2018

LIVRE / UN CYCLISTE AVEC UN COMPTEUR GEYSER OU MEMOIRE D’UNE APOCALYPSE.

Inspiré de la vie de Vassili Nesterenko, physicien spécialiste du nucléaire, le livre de l’auteur espagnol Javier Sebastiàn « Le cycliste de Tchernobyl » nous plonge dans ce passé proche où l’Europe découvrit avec stupeur que le nucléaire pouvait plonger le monde dans le chaos. Nous voilà à Pripiat, ville fantôme, qui se trouve à trois kilomètres de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, ville figée comme une espèce de Pompéi des temps modernes. Déambulent des personnages qui peuplent un paysage fossilisé entre salles de classes désaffectées et pistes d’auto-tamponneuses…Les temps ne sont plus à la liesse. L’ombre de l’invisible radioactivité affole les compteurs geyser. Dans ce décor de cimetière, Vassia, le scientifique, erre avec sa bicyclette tel un messager de l’apocalypse et des becquerels dévastateurs. Cycliste qui sera poursuivi par les hommes en noir du KGB. La vérité n’a pas bonne presse auprès des politiques et de l’Empire. L’homme travaillait sur le projet « Pamir » destiné à neutraliser à l’époque l’initiative de défense stratégique de Ronald Reagan. Cent dix usines et laboratoires étaient disséminés dans toutes les républiques de l ‘ancienne URSS, avec des projets de centrales nucléaires mobiles, lorsque Tchernobyl explosa le 26 avril 1986…Hallucinantes et ubuesques recommandations faites à la population : Il faut hydrater le corps pour que les particules radioactives s’évacuent par la sueur et l’urine… L’histoire s’inscrit sur un nuage radioactif devenu mythique qui fera fi des billevesées et des mensonges proclamés. Il y avait à Pripiat tellement de césium et de strontium en suspension que, selon l’intensité du soleil, on pouvait le voir. Dévastation et horreur d’un massacre muet. Et puis, quelques conseils entre bon sens et surréalisme afin d’éviter les produits irradiés : Les gens cherchaient des fruits avec des vers, ils savaient comme ça qu’ils n’étaient pas contaminés et qu’on pouvait les manger ».

Ce livre chante avec mélancolie et tristesse l’aubade des gens qui sont morts dans le silence des radiations, « hymne à la résistance dans un monde dévasté ».

On déclare souvent, après les catastrophes : « plus jamais ça », mais des pléthores de bombes à retardement menacent encore le ciel bleu et son soleil. Gageons que ce seront encore d’autres nuages bien innocents et inoffensifs…

                                                                                                                   Laurent BAYART

 

* Le cycliste de Tchernobyl de Javier Sebastiàn, Editions Métaillé, 2013.

LIVRE / KIM YOUNG-HA, DE MEMOIRE.

 Né en 1968, Kim Young-Ha est un petit prodige de la littérature coréenne. J’ai eu le bonheur de découvrir plusieurs de ses opus (dont Qu’est devenu l’homme coincé dans l’ascenseur, Quiz Show ou Fleur noire) qui désopilent par sa manière de briser les règles et d’emmener le lecteur dans des paysages inédits.

Cette fois-ci, ce surdoué de l’écriture traite de la maladie d’Alzheimer avec une incroyable dextérité et intelligence d’esprit. Il fixe ses pas à ceux d’un ex-tueur en série Kim Byeong-su, 70 ans dans la musette et une flopée de crimes dont il n’a plus souvenance : Les hommes sont tous prisonniers du temps. Et ceux qui sont atteints d’Alzheimer sont enfermés dans une prison dont les cellules rétrécissent de plus en plus vite…Ce personnage déambule dans son existence, sans mémoire, il confond son auxiliaire de vie avec sa fille qu’il pense finalement avoir assassiné comme tant d’autres. L’horreur et la dérision jouxtent en des cloisons fines comme du papier cigarette. L’approche de cette maladie emblématique de nos sociétés est faite avec une grande pertinence. On sent qu’un travail de fond a été mené par Kim Young-Ha : Quand je perds la mémoire du passé, je ne sais plus qui je suis, tandis que si je perds la mémoire du futur (Se souvenir de quelque chose que l’on doit faire dans l’avenir), je suis coincé dans le présent pour toujours.

 Par son architecture, ce thriller psychologique haletant fait songer par moments à l’Etranger de Camus. La maladie jouant le rôle de ce soleil pressant et aveuglant. Les mots disparaissent. Mon cerveau me fait de plus en plus penser à un concombre de mer…

 Malgré son carnet de note et son magnétophone qui pend à son cou, le narrateur, poète et philosophe, marche sur des nuages volatiles. L’auteur, comme il le dit lui-même, se plaît à nous entraîner dans des territoires inconnus de tous, à la manière de Marco Polo.

                                                                                                                   Laurent BAYART

 

* Ma mémoire assassine de Kim Young-Ha, Editions Philippe Picquier, 2015.

 

MAGAZINE / SPORT ET VIE, CA RIME BIEN, NON ?

Toujours aussi passionnant, ce Bimestriel qui sort ces temps-ci sont cent soixante sixième numéro qui me régale toujours à chaque parution. Dans cette mouture, on y parle du « spectre d’Athènes » en rappelant qu’il ne faut jamais trop se réjouir de se voir « décrocher » l’organisation d’une Olympie ! Rappelant l’exemple de la Grèce en 2004 dont on évalue la facture « finale » à 20/25 milliards d’Euros. De quoi plomber encore plus l’endettement abyssal du pays : 320 milliards d’Euros avec, notamment, des infrastructures flambant neuves qui n’ont – par la suite – jamais servies et sont aujourd’hui livrées…aux herbes folles !

Le dopage y est toujours constamment évoqué, avec une acuité cinglante :…Ils (les athlètes) évoluent dans un monde où rien ne compte en-dehors de leurs performances et parce qu’ils sont prêts à tous les risques et à tous les sacrifices pour réaliser leurs ambitions déclare Anne Sakorafa, ancienne championne grecque devenue députée (et dépitée !). L’article conclut amèrement : Car malheureusement, la victoire revient souvent à celui qui triche le mieux ! Au fait, que fera t’on du cas Froome et de ses quatre victoires dans le Tour de France ? Lui supprimera t’on le palmarès, comme à l’ogre Armstrong (En passant, Philippe Brunel évoque le dopage mécanique à son encontre).

Ce magazine ne se lit pas, mais se dévore, comme une bonne barre de céréales ou une plantureuse banane sur le vélo ! A noter un article passionnant où des études statistiques très sérieuses nous apprennent : qu’un corner sortant amène un but 3 fois sur 100. Un corner rentrant 9 fois sur 100. Hallucinant, non ? L’auteur de l’étude rajoutant bien à propos : L’option du corner rentrant pourrait donner l’impression de vouloir absolument marquer soi-même, ce qui sera mal perçu de la part des coéquipiers…Ce qui fait que ce genre de but direct reste rare…

 A noter aussi, la page sur les pelouses synthétiques et leurs petites billes qui contiendraient jusqu’à 190 substances toxiques…Plus avant, on nous apprend qu’ils ont fait leur apparition dans les années soixante, commercialisés par…Monsanto ! Oups.

Dossiers sur l’haltérophilie (record à l’épaulé-jeté de 263 kilos soulevés par Hossein Reza Zadeh, l’Hercule iranien !), la pédophilie dans le sport (à tomber sur le…cul !) avec des entraineurs à la main baladeuse, que ce soit en natation, gym ou football…Ca dézingue tout azimut. Focus sur Léo Lagrange, si connu et inconnu dont la fête de la musique, initiée par Jack Lang, constitue une manière d’hommage…

                                                                                                                   Laurent BAYART

* Sport et Vie, numéro 166, janvier/février 2018, Bimestriel, 6,50 Euros.

LAURENT BAYART INVITE DU « LIVRE A LIRE », EURO-NEGOCE, A L’IUT ROBERT SCHUMAN.

                                        (photo IUT Robert Schuman)

Passionnants moments de rencontres et d’échanges avec les élèves en Techniques de Commercialisation ainsi que des BTS MUC et BTS NRC de l’Académie de Strasbourg dans le cadre de l’opération EURO-NEGOCE, du « Livre à lire » à l’IUT Robert Schuman d’illkirch-Graffenstaden.

Laurent Bayart a été invité, le mardi 9 janvier dernier, en compagnie d’autres écrivains et des éditeurs, à présenter son parcours d’écrivain-cycliste,  dans le cadre d’un colloque « le commerce dans la littérature ». « A l’heure où d’aucuns se plaignent du manque d’intérêt de la jeunesse actuelle pour le support écrit et la littérature, nous avons choisi de faire de cette semaine. Laurent était accompagné de ses collègues Albert Strickler, Charlotte Abecassis-Weigel, Magali Rudler, Florence Jenner-Metz, Anne Plichota et Cendrine Wolf, Gabriel Schoettel, Emmanuel Parmentier, Pierre Marchant et Eric Catarina.

Un grande merci au Docteur Régine Atzenhoffer de l’Université de Strasbourg pour son accueil et son invitation !