
Ah que j’aurais voulu me retrouver confiné dans une boucherie du Val d’Ajol, celle par exemple d’Arnaud Daval, entouré de quelques savoureuses andouilles suspendues à leurs crochets, comme des dieux lares me protégeant du méchant corona-merdicus-virus ! Mon Val si d’Ajol, je suis en manque de toi. J’aimerais tant admirer le clocher de ta si belle église du bas du pittoresque parvis, écouter le concerto de la Combeauté m’offrir ses sonates d’eau vive en algues majeures, observer ses palettes de couleurs vertes qu’offrent les montagnes environnantes, avec en point de mire la Feuillée Nouvelle/Corcovado du Rio ajolais où je perçois le doux son d’une épinette tel le chant d’un colibri. Sublime mélodie qui vient réchauffer mon cœur de ses divines notes de cordes enchantées. Est-ce La valse de l’Empereur ? Et vous, amis, Ajolais qui fleurissaient mon âme de votre bonne humeur et de votre chaleur, votre sourire est comme la signature apposée sur le bas d’une œuvre.
J’ai hâte de venir dédicacer mon livre, chant d’amour, sur le Val d’Ajol chez Narcisse pour une épicurienne ivresse en comptoir de bar. Il n’y a rien qui ne Val…d’Ajol stoppé in-extremis par ce stupide et pervers virus. Amis, ce n’est que partie remise !
Et même si je surgis masqué, comme un Zorro avec le collier de la confrérie pendu telle une saucisse à mon cou, je viendrai signer mon livre à la pointe de mon épée/stylo !
Une plume en fête à la place d’un thermomètre…Histoire de vous rappeler qu’on ne guérit jamais de son amour du Val d’Ajol !
Copyright Laurent BAYART
10 avril 2020
- N’hésitez pas à me contacter pour le commander, en cette période de « confinement », vous le recevrez ainsi directement chez vous, dans votre boîte à lettre, (22 Euros, port compris).
Arrivés en octobre dernier, ma petite famille et moi même avons l’impression d’avoir trouvé notre paradis. Venant du nord de la France, après bien des péripéties vécues ces 10 dernières années, nous apprécions la gentillesse des gens de ce village. La fête à l’andouille à été un moment délicieux, avec son défilé, ses chars et la bonne humeur générale. DAVAL, la boulangerie le Grin de Plaisir, que de bonnes choses à déguster.
Nous comprenons votre impatience à y revenir. Notre confinement ne nous pose aucun problème, au contraire, puisque c’est notre choix de vie, en pleine nature, entourés de nombreux arbres fruitiers et d’un potager que nous remettons en état d’abondance.
Au plaisir de vous croiser, un jour, nous l’espérons.
Dominique.
Merci pour votre petit mot. Oui, vous avez parfaitement bien résumé
cet amour du pays et ce que l’on trouve ! J’espère
que nous pourrons faire connaissance, peut-être lors de la dédicace
de mon nouveau livre dédié au Val ou à l’occasion d’une lecture musicale
organisée sur place ! Au plaisir !